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Apnée du sommeil : suis-je à risque ?

Suis-je à risque ?

Vous ronflez, êtes souvent fatigué la journée et votre partenaire a noté des pauses respiratoires pendant la nuit ? Vous avez peut-être un syndrome d’apnées du sommeil.



Le syndrome d’apnées obstructives du sommeil (SAOS) est une maladie sérieuse, fréquente, mais sous-diagnostiquée. Savez-vous que 80 % des personnes ignorent qu’elles en souffrent?

On estime que ce syndrome affecte presque 1 milliard de personnes dans le monde2, jusqu’à 50 % de la population générale adulte masculine3 et jusqu'à  23% de la population adulte générale féminine4.

Quelques facteurs prédisposent à avoir ce syndrome : le sexe masculin, le surpoids,  un age supérieur à 50 ans, un large tour du cou, une petite mâchoire inférieure ou un antécédent familial d’apnée du sommeil sont des facteurs de risques3.

Le questionnaire de Berlin6 est un test simple qui permet d’évaluer le risque de souffrir d’apnée du sommeil grâce à 10 questions rapides sur votre sommeil, vos ronflements, votre somnolence et les facteurs de risque tels que l’obésité et l’hypertension. 

Il est important de rappeler que ce test ne constitue en aucun cas un diagnostic. Si vous avez un doute, partagez ces résultats à votre médecin qui vous indiquera la marche à suivre.

Les données ne sont pas stockées et vous seul avez accès aux résultats. 

Vous pouvez si vous le souhaitez télécharger les résultats pour les partager.

 

*réponse obligatoire

Références

1.Obstructive Sleep Apnoea – A guide for GPs – British Lung Foundation (NHS)

2.Benjafield Adam V et al. Estimation of the global prevalence and burden of obstructive sleep apnoea: a literature-based analysis. Lancet Respir Med. 2019;7(8):687-698. doi:10.1016/S2213-2600(19)30198-5

3.Tufik S, Santos-Silva R, Taddei JA, Bittencourt LRA. Obstructive sleep apnea syndrome n the Sao Paulo epidemiologic sleep study. Sleep Med 2010;11:441–6.

4.Heinzer R, Vat S, Marques-Vidal P, et al. Prevalence of sleep-disordered breathing inthe general population: the HypnoLaus study. Lancet Resp Med 2015;3:310–8.